
La spécialité du Cabinet,
le bail commercial
BVI AVOCAT, Cabinet exerçant à Paris et vous représentant dans toute la France, intervient dans toutes les difficultés rencontrées avant, pendant et après la vie du bail commercial proposant un accompagnement intégral, à 360°, à ses clients.
BVI AVOCAT accompagne ses clients avec réactivité et bienveillance permettant de nouer une véritable relation de confiance avec eux.
Le Cabinet pratique une facturation d’honoraires au forfait permettant à ses clients de connaître, avant le début de la mission, le montant des diligences réalisées.
Comment le Cabinet peut vous accompagner ?
Conclusion et renouvellement du bail
Accompagnement dans la rédaction, revue, négociation et renouvellement du bail commercial ou bail dérogatoire ;
Assistance dans le renouvellement du bail :
Bailleur : délivrance d’un congé avec offre de renouvellement ;
Locataire : délivrance d’une demande de renouvellement.
Fixation de l’indemnité d’éviction
Assistance dans la fixation amiable ou judiciaire de l’indemnité d’éviction :
Bailleur : délivrance d’un congé avec refus de renouvellement et offre d’indemnité d’éviction ou avec refus d’indemnité d’éviction (pour motif grave et légitime, dénégation du droit au statut des baux commerciaux, etc.) ;
Locataire : contestation du congé avec refus de renouvellement et refus d’indemnité d’éviction.
Résiliation anticipée du bail
Accompagnement dans la résiliation du bail avant son terme :
Bailleur : délivrance d’un congé triennal ou négociation avec le locataire et rédaction d’un protocole d’accord ;
Locataire : délivrance d’un congé triennal, délivrance d’un congé pour le départ à la retraite ou en cas de pension d’invalidité, négociation avec le bailleur et rédaction d’un protocole d’accord.
Fixation des loyers
Accompagnement dans la fixation amiable ou judiciaire du loyer :
Au cours du bail par la rédaction d’un avenant de révision du loyer ;
Lors du renouvellement du bail par la négociation du loyer ou la représentation devant le Juge des loyers commerciaux.
Contentieux locatif
Accompagnement dans tous les litiges relatifs à l’exécution du bail :
Bailleur : mise en œuvre de la clause résolutoire pour le recouvrement des impayés ou pour des nuisances, résiliation judiciaire pour défaut d’exploitation du locataire ou pour le changement non autorisé de destination du bail, etc.
Locataire : contestation du commandement de payer, remboursement des charges par le bailleur en cas d’absence de justificatifs des charges facturées, demande de réalisation de travaux, etc.
Cession du droit au bail ou fonds de commerce
Accompagnement dans la cession du fonds de commerce ou du bail :
Bailleur : assistance lors de la cession du fonds de commerce (vérification de la clause d’agrément, de l’activité de l’acquéreur du fonds de commerce, etc.) ;
Locataire : assistance pour l’acquisition ou la cession du fonds de commerce.
Témoignages de clients
Les actualités du Cabinet pour tout savoir sur les règles relatives au bail commercial
La sous-location est le contrat par lequel une personne (le locataire principal) qui a la jouissance de locaux en vertu d'un bail commercial remet à son tour la jouissance de tout ou partie de ses locaux à un tiers, dénommé sous-locataire, moyennant un certain prix et pour un certain temps.
Par un arrêt du 3 juillet 2025, la Cour de cassation rappelle que les dispositions de l’article L521-2 du Code de la construction et de l’habitation (permettant au locataire de bénéficier de la cessation de l’exigibilité des loyers en cas d’arrêté de mise en sécurité ou de traitement de l’insalubrité) ne s’appliquent que pour les logements et non aux locaux commerciaux.
La Cour de cassation est venue préciser que l'exception au droit de préférence s'applique en cas de cession d'un immeuble comprenant un seul local commercial.
La liquidation judiciaire ouverte concomitamment à la résolution d’un plan de redressement constitue une nouvelle procédure collective obligeant le bailleur à respecter un nouveau délai de trois mois à compter du jugement d’ouverture de la procédure de liquidation judiciaire avant d’agir en résiliation du bail.
Lorsque la divisibilité de la clause d’indexation stipulée dans un bail commercial est caractérisée, celle-ci n’est pas réputée non écrite dans son intégralité.
Les parties doivent s’entendre sur le contenu de ce nouveau bail et particulièrement sur son prix. Les parties peuvent librement fixer le prix du bail renouvelé et augmenter ou diminuer le loyer.
Le renouvellement du bail commercial naîtra du congé avec offre de renouvellement émanant du bailleur ou de la demande de renouvellement du locataire. Ces actes mettent fin au bail en cours et engendrent le bail renouvelé.
Pour pouvoir bénéficier du renouvellement de son bail commercial ou ses baux commerciaux, le preneur doit remplir certaines conditions qui sont, à l’exception de l’immatriculation, énumérées par l’article L145-8 du Code de commerce.
En cas de manquement du locataire à la clause de destination du bail commercial, le bailleur peut demander la résiliation judiciaire du bail commercial.
La clause de non-recours qui est imprécise ne peut exonérer le bailleur de son obligation de délivrance.
Par un arrêt du 13 mars 2025, la 3ème chambre civile de la Cour de cassation a rappelé qu’est valable une clause prévoyant que la cession d’un fonds de commerce soit constatée par acte authentique et que le bailleur soit dûment appelé. En cas de non-respect de cette clause, la cession est inopposable au bailleur.
Le droit d'option, codifié à l’article L145-57 du Code de commerce, dans un bail commercial, est un mécanisme qui permet au bailleur ou au locataire de renoncer au renouvellement du bail, même après avoir initialement accepté ce renouvellement sans avoir accepté le loyer renouvelé.
La garantie à première demande (GAPD) est un engagement autonome, généralement souscrit par une banque ou un tiers, qui oblige ce garant à verser au bailleur une somme convenue dès qu'il en fait la demande, sans que le locataire puisse généralement s'y opposer.
Le déplafonnement du loyer d'un bail commercial est une question essentielle tant pour les bailleurs que pour les locataires (propriétaires du fonds de commerce). Ce mécanisme permet d'échapper à la règle du plafonnement et d'ajuster le loyer en fonction des conditions économiques et commerciales.
Le plafonnement du loyer d’un bail commercial est un mécanisme clé visant à protéger les locataires (propriétaires du fonds de commerce) contre des hausses excessives de loyer lors du renouvellement ou de la révision triennale.
Le Cabinet met à votre disposition un tableau synthétique des différentes conventions applicables pour l’exploitation d’un local.
Le bail commercial et le bail professionnel contiennent des différences dans leurs conditions, leur réglementation et leur impact sur l’activité exercée.
Par un arrêt du 6 février 2025, la 3ème chambre civile de la Cour de cassation a précisé que lorsque le bail commercial était déjà résilié, il était impossible d’obtenir de nouveau sa résiliation.
Par un arrêt du 6 février 2025, la 3ème chambre civile de la Cour de cassation a précisé que le locataire peut demander la suspension des effets de la clause résolutoire quel que soit le manquement à ses obligations qui lui est reproché, même s’il s’agit d’une obligation de faire.
Lorsqu'aucune des parties (c'est à dire ni le propriétaire ni le locataire) ne se manifeste, le bail commercial se prolonge tacitement pour une durée indéterminée. Il n'y a pas de formation de nouveau contrat de bail commercial. Il se poursuit automatiquement.
Par un arrêt du 12 décembre 2024, la 3ème chambre civile de la Cour de cassation a précisé que la suppression des murs porteurs entre deux locaux pour leur mise en communication constitue d’importants travaux, laquelle caractérise des modifications notables des caractéristiques du local entraînant la fixation du loyer renouvelé à la valeur locative.
La loi n°2014-626 du 18 juin 2014 (dite loi Pinel) et le décret n°2014-1317 du 3 novembre 2014 ont bouleversé le régime des charges, taxes et accessoires des baux commerciaux.
Les parties ne sont plus libres de transférer l'ensemble des charges, taxes et accessoires du bail commercial sur le locataire.
Par un arrêt du 14 novembre 2024, la 3ème chambre civile de la Cour de cassation a rappelé que seule la remise des clés libère le locataire de ses obligations financières.
Conformément à l'article 1709 du Code civil, le loyer est la somme qui est payée par le locataire au propriétaire en contrepartie de la mise à disposition du local commercial.
Lors de la conclusion du contrat de bail commercial, le loyer est librement convenu entre les parties.
Il peut être fixe ou variable, en fonction par exemple, du chiffre d'affaires du locataire ou composé d'une partie fixe et d'une part variable, appelé alors clause recette ou encore clause de loyer variable.
Le loyer peut aussi être fixé par périodes, appelé loyer à paliers.
Le loyer peut, en cours de bail ou lors du renouvellement du bail, être augmenté par différents mécanismes.
Le locataire et le bailleur disposent de plusieurs options afin de pouvoir procéder à la résiliation de leur bail commercial ou de leurs baux commerciaux avant le terme.
Par un arrêt du 3 septembre 2024, la Cour d’appel de Bordeaux a décidé que lorsqu’un avenant modifie le loyer, la date de prise d'effet et la désignation des lieux loués, ce dernier instaure un nouveau bail remplaçant le bail initial et marque le point de départ de la durée du bail.
Par un arrêt du 10 octobre 2024, la 3ème chambre civile de la Cour de cassation a rappelé que le locataire ne peut pas invoquer l’exception d’inexécution et arrêter de payer ses loyers dès lors qu’il est en mesure d’utiliser les locaux conformément à leur destination.
Par une ordonnance d’incident du 5 septembre 2024, la Chambre 3 du Pôle 5 de la Cour d’appel de Paris apporte des précisions concernant le délai et le point de l’action en recouvrement des charges impayées d’un bail commercial.
A qui incombe les travaux dans le cadre d’un bail commercial ? Étude des travaux prévus au cours d’un bail commercial allant des grosses réparations (article 606 du Code civil) incombant au bailleur à la vétusté (article 1755 du Code civil) incombant normalement au preneur.
Le bail dérogatoire, appelé aussi de « courte durée » ou “bail précaire” et régi par les dispositions de l’article L145-5 du Code de commerce, est un contrat qui permet aux parties de déroger, lors de l’entrée dans les lieux du preneur, aux règles régissant les baux commerciaux à condition que la durée totale du bail ou des baux successifs ne soit pas supérieur à trois ans.

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